coutde la vie en Afrique du Sud - forum Afrique du Sud - Besoin d'infos sur Afrique du Sud ? Posez vos questions et parcourez les 3 200 000 messages Selonla derniĂšre Étude Ă©conomique de l’Afrique du Sud rĂ©alisĂ©e par l’OCDE, l’amĂ©lioration du systĂšme fiscal et la rĂ©duction des dĂ©penses inefficientes aideraient Ă  placer les Onpeut comprendre l'amertume de la jeunesse sud-africaine en proie au chĂŽmage et Ă  la chertĂ© du coĂ»t de la vie. Et c'est dire si les Ă©lites politiques ont Ă©chouĂ© Ă  amĂ©liorer FormalitĂ©set visa pour l'Afrique du Sud. Dans le cadre d'un voyage Ă  but touristique les Français et autres europĂ©ens n'ont pas besoin de visa pour moins de 90 jours sur place. Par contre, il faut un passeport au moins valable 30 jours aprĂšs la date de sortie prĂ©vue du pays et comportant au moins deux pages vierges. Sinonpour le cout de la vie, j'ai redige un article a ce sujet, qui s'appelle evidemment cout de la vie;) Il y a le prix de certains Afrique de l'Est et Australe > Afrique du Sud 10 nov. 2005 Ă  15:07 NosdonnĂ©es pour chaque pays sont basĂ©es sur toutes les entrĂ©es de toutes les villes de ce pays. Par Ville en Afrique du sud. Classement. Ville . Indice de QualitĂ© de Vie. Indice du Pouvoir d'Achat. Indice de SĂ©curitĂ©. Indice des soins de santĂ©. Indice du CoĂ»t de la Vie. Rapport Prix de l'immobilier/Revenu. Indice du Temps de Trajet dans Trafic. Indice de CoĂ»tde la Vie Cape Town. VĂ©rifiez toutes les informations pour savoir combien il vous en coĂ»terait pour vous Ă©tablir Ă  Cape Town (Afrique du Sud) soit si vous voyagez, travaillez, vivez, ĂȘtes en vacances ou ĂȘtes curieux.Dans cette post, nous avons prĂ©parĂ© des listes complĂštes de donnĂ©es basĂ©es sur le coĂ»t d’une grande variĂ©tĂ© de produits, biens et Selonla derniĂšre Étude Ă©conomique de l’Afrique du Sud rĂ©alisĂ©e par l’OCDE, l’amĂ©lioration du systĂšme fiscal et la rĂ©duction des dĂ©penses inefficientes aideraient Ă  placer les finances publiques sur une trajectoire plus durable, tandis que des mesures visant Ă  stimuler la productivitĂ© contribueraient Ă  raviver la croissance du PIB et Ă  relever les Leministre dĂ©lĂ©guĂ© aux Outre-mer, Jean-François Carenco, estime que la constitution d'un panier de produits Ă  prix rĂ©gulĂ© pourrait aider Ă  faire baisser le coĂ»t de CoĂ»tde la vie en Afrique du Sud. Moins de 1 000 R. Lit en dortoir : Ă  partir de 160 R; Plat bon marchĂ© (zones les plus Ă©conomiques) : moins de 75 R; Forfait Baz Bus pFVCM. En bref... La transformation structurelle dĂ©signe la rĂ©orientation de l’activitĂ© Ă©conomique des secteurs les moins productifs vers des secteurs plus productifs. C’est l’un des moteurs fondamentaux du dĂ©veloppement Ă©conomique. Elle comporte deux Ă©lĂ©ments la montĂ©e en puissance de nouvelles activitĂ©s plus productives et le transfert des ressources des activitĂ©s traditionnelles en direction de ces activitĂ©s nouvelles, ce qui relĂšve la productivitĂ© globale. En l’absence du premier Ă©lĂ©ment, les moyens de propulsion de l’économie sont peu nombreux. En l’absence du second, les gains de productivitĂ© ne se diffusent pas au reste de l’économie McMillan et Rodrik, ci-aprĂšs M&R, 2011. Il ressort de cet Ă©tat des lieux i que le changement structurel en Afrique y a nettement comprimĂ© la croissance entre 1990 et 1999, et au contraire ; ii qu’il y a largement stimulĂ© la croissance entre 2000 et 2005 ; iii qu’au cours du passĂ© rĂ©cent, le changement structurel en Afrique a Ă©tĂ© le plus marquĂ© dans les pays qui pouvaient le plus en bĂ©nĂ©ïŹcier, d’aprĂšs la part de leur population active travaillant dans l’agriculture ; iv que le changement structurel a Ă©tĂ© plus substantiel dans les pays afïŹchant une meilleure gouvernance, des Ă©coles plus performantes et des taux de change plus compĂ©titifs ; v que, malgrĂ© un changement structurel positif pendant la derniĂšre dĂ©cennie, l’Afrique a besoin d’une transformation nettement plus efïŹcace si elle veut mettre en place les structures Ă©conomiques qui offriront de bons emplois et des revenus sufïŹsants Ă  sa population qui ne cesse d’augmenter ; et vi que la comparaison avec les trajectoires historiques de pays plus riches montre que l’Afrique suit une Ă©volution gĂ©nĂ©rale et peut accĂ©lĂ©rer son changement structurel grĂące Ă  la diversiïŹcation. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le changement structurel, c’est-Ă -dire la rĂ©orientation de l’activitĂ© Ă©conomique des secteurs les moins productifs vers des secteurs plus productifs, est un moteur fondamental du dĂ©veloppement Ă©conomique Herrendorf, Rogerson et Valentinyi, 2011 ; Duarte et Restuccia, 2010. En particulier, le mouvement de la main-d’Ɠuvre quittant l’agriculture de semi-subsistance, peu productive, pour rejoindre les industries manufacturiĂšres ou les services, plus productifs, tant dans les zones urbaines que rurales, est nĂ©cessaire pour alimenter des hausses de la productivitĂ© globale et l’amĂ©lioration des niveaux de vie, ainsi que pour faire reculer la pauvretĂ©. Ce constat se vĂ©riïŹe Ă  la fois sur le plan thĂ©orique et au vu de ce qu’ont rĂ©ellement vĂ©cu les pays pendant les diffĂ©rentes phases de leur dĂ©veloppement1. Classiquement, le changement structurel est dĂ©crit comme le redĂ©ploiement de l’activitĂ© Ă©conomique entre trois grands secteurs agriculture, industries manufacturiĂšres et services, qui accompagne et facilite le processus de croissance Ă©conomique. La part des industries manufacturiĂšres dans l’activitĂ© a toujours revĂȘtu la forme d’une courbe en U inversĂ© elle augmente durant les stades de dĂ©veloppement faible, Ă  mesure que le capital s’accumule, puis elle diminue pendant les stades de dĂ©veloppement Ă©levĂ©, quand l’amĂ©lioration des revenus tire la demande de services et que la hausse des coĂ»ts de main-d’Ɠuvre pĂšse sur la production transition en direction des services et des industries manufacturiĂšres s’opĂšre en partie Ă  l’intĂ©rieur des zones rurales, mais elle fait aussi intervenir, dans une large mesure, une migration vers les centres urbains, motivĂ©e par la quĂȘte d’opportunitĂ©s d’emplois formels. En gĂ©nĂ©ral, les travailleurs urbains afïŹchent une productivitĂ© du travail plus forte, notamment du fait d’une plus grande spĂ©cialisation, d’un meilleur accĂšs au capital et de coĂ»ts de transaction infĂ©rieurs. À l’évidence, le changement structurel joue un rĂŽle important dans le rattrapage de productivitĂ© des pays en dĂ©veloppement. Habituellement, ceux qui afïŹchent les taux de croissance les plus vigoureux rĂ©allouent l’essentiel de leur main-d’Ɠuvre aux industries manufacturiĂšres trĂšs productives, ce qui permet un rattrapage de la productivitĂ© agrĂ©gĂ©e Duarte et Restuccia, 2010. En d’autres termes, les pays qui s’extraient de la pauvretĂ© connaissent Ă©galement un changement structurel positif3. La comparaison entre les modĂšles des annĂ©es 90 et ceux observĂ©s sur 2000/05 dans un Ă©chantillon de pays met en Ă©vidence un retournement remarquable le changement structurel nĂ©gatif est devenu positif en Afrique. Selon l’analyse de M&R 2011, qui repose sur un Ă©chantillon de neuf pays d’Afrique, le changement structurel a nui Ă  la croissance de la productivitĂ© dans cette rĂ©gion au cours des annĂ©es 90. En Afrique, le dĂ©but des annĂ©es 90 Ă©tait encore une pĂ©riode d’ajustement. Vers 2000 a commencĂ© ce que l’on a appelĂ© le miracle de la croissance » en Afrique, coĂŻncidant avec une phase d’intensiïŹcation de la mondialisation. Cette phase s’est caractĂ©risĂ©e par l’ouverture du plus vaste pays en dĂ©veloppement, la Chine, et par une envolĂ©e des cours des matiĂšres premiĂšres. La ïŹgure illustre les principaux constats relatifs aux Ă©volutions structurelles4. Les moyennes simples et les moyennes pondĂ©rĂ©es par l’emploi y sont prĂ©sentĂ©es sur les pĂ©riodes 1990/99 et 2000/05 pour quatre groupes de pays AmĂ©rique latine, Afrique subsaharienne, Asie et pays Ă  revenu Ă©levĂ©. Le plus frappant est le remarquable revirement de l’Afrique. Entre 1990 et 1999, sur ce continent, le changement structurel a freinĂ© la productivitĂ© dans toute l’économie dans l’échantillon non pondĂ©rĂ©, la croissance gĂ©nĂ©rale de la productivitĂ© du travail a Ă©tĂ© nĂ©gative et a rĂ©sultĂ© en grande partie du changement structurel. On a observĂ© un schĂ©ma trĂšs analogue en AmĂ©rique latine Ă  l’époque. Alors que la situation ne s’est pas amĂ©liorĂ©e en AmĂ©rique latine sur 2000/05, un changement total de cap a eu lieu en Afrique. Le changement structurel y a contribuĂ©, pour environ 1 point de pourcentage, Ă  la croissance de la productivitĂ© du travail, tant dans l’échantillon pondĂ©rĂ© que dans l’échantillon non pondĂ©rĂ©. De surcroĂźt, en Afrique, la croissance globale de la productivitĂ© du travail n’a Ă©tĂ© surpassĂ©e que par celle mesurĂ©e en Asie, oĂč le changement structurel continuait d’exercer un effet positif important. Intrasectorielle Structurelle Figure La transformation structurelle en Afrique comparaison de ses schĂ©mas dans le temps A. DĂ©composition de la croissance de la productivitĂ© par groupe de pays,1990/99 Ă©chantillon non pondĂ©rĂ© B. DĂ©composition de la croissance de la productivitĂ© par groupe de pays, 1990/99 Ă©chantillon pondĂ©rĂ© C. DĂ©composition de la croissance de la productivitĂ© par groupe de pays, 2000/05 Ă©chantillon non pondĂ©rĂ© D. DĂ©composition de la croissance de la productivitĂ© par groupe de pays, 2000/05 Ă©chantillon pondĂ©rĂ© % variation % variation Note Ces graphiques se fondent sur l'Ă©chantillon de neuf pays utilisĂ© dans McMillan et Rodrik, 2011. % variation % variation Si l’on recourt pour ce chapitre Ă  des donnĂ©es supplĂ©mentaires plus rĂ©centes, recueillies au niveau des pays, le revirement en Afrique se conïŹrme. Ayant Ă©tabli que le changement structurel semble aller dans la bonne direction pour les neuf pays d’Afrique qui composent l’échantillon de M&R 2011, l’analyse est ici Ă©tendue Ă  19 pays de cette rĂ©gion5. L’échantillon Ă©largi, qui comporte 16 des 48 pays d’Afrique subsaharienne et trois des six pays d’Afrique du Nord, est, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, reprĂ©sentatif. Le tableau en prĂ©sente les rĂ©sultats. À quelques exceptions prĂšs, l’utilisation d’un plus vaste Ă©chantillon de pays conïŹrme le revirement constatĂ©. Dans ces 19 pays, la productivitĂ© du travail a progressĂ© de % aprĂšs 2000 et la contribution du changement structurel, tous secteurs confondus, a reprĂ©sentĂ© point de pourcentage, soit approximativement 40 % du total. Par contraste avec la pĂ©riode prĂ©cĂ©dente 1990/99, le changement structurel explique prĂšs de la moitiĂ© des gains globaux de productivitĂ© en Afrique sur la seconde pĂ©riode considĂ©rĂ©e. Afrique du Sud AlgĂ©rie Angola Cameroun Égypte Éthiopie Ghana Kenya Malawi Mali Maurice Maroc Mozambique Nigeria Ouganda Rwanda SĂ©nĂ©gal Tanzanie Zambie Afrique, moyenne non pondĂ©rĂ©e Afrique, moyenne pondĂ©rĂ©e Source Calculs des auteurs aprĂšs Ă©largissement de l’ensemble de donnĂ©es utilisĂ© dans McMillan, et D. Rodrik 2011, Globalization, structural change and productivity growth », document de travail n° 17143 du NBER, Tableau DĂ©composition de la croissance de la productivitĂ© en Afrique 2000/05 Intrasectorielle % Croissance % ProductivitĂ© du travail structurelle – mouvement intersectoriel de la main-d’Ɠuvre % Dont Les donnĂ©es recueillies au niveau des mĂ©nages rĂ©vĂšlent un dĂ©placement gĂ©nĂ©ral de l’emploi de l’agriculture vers les services et les industries manufacturiĂšres. La robustesse des estimations des parts de l’emploi et les variations de ces parts a Ă©tĂ© vĂ©riïŹĂ©e sur la base des donnĂ©es des enquĂȘtes dĂ©mographiques et de santĂ© Demographic and Health Surveys – DHS. Les DHS sont des enquĂȘtes reprĂ©sentatives Ă  l’échelle nationale, destinĂ©es Ă  collecter des informations dĂ©taillĂ©es sur la mortalitĂ© des enfants, la santĂ© et la fĂ©conditĂ©, ainsi que sur les biens de consommation durables et la qualitĂ© du logement des mĂ©nages. Les DHS recueillent aussi des informations sur l’éducation, la situation vis-Ă -vis de l’emploi et la profession des femmes et de leurs conjoints, dans la classe d’ñge des 15-49 ans. Il importe de noter que la composition et le codage des variables surtout en ce qui concerne le type de profession, le niveau d’études, les biens des mĂ©nages et les caractĂ©ristiques du logement sont gĂ©nĂ©ralement comparables d’un pays et d’une pĂ©riode Ă  l’autre. EnïŹn, l’échantillon inclut des diffĂ©rences rĂ©gionales considĂ©rables. Au total, 90 enquĂȘtes sont disponibles pour 31 pays d’Afrique et 92 enquĂȘtes pour 37 pays non africains, et, le plus souvent, des enquĂȘtes multiples jusqu’à six ont Ă©tĂ© menĂ©es entre 1995 et 2011. L’utilisation des donnĂ©es des DHS fait apparaĂźtre que, pour les pays d’Afrique de l’échantillon, sur la pĂ©riode 2001/07, i le taux d’activitĂ© des hommes comme celui des femmes a augmentĂ© par rapport Ă  la pĂ©riode prĂ©cĂ©dente ; ii le travail des hommes s’est rĂ©orientĂ© de l’agriculture et des services vers les industries manufacturiĂšres ; et iii le travail des femmes s’est orientĂ© des services vers l’agriculture et les industries manufacturiĂšres. En revanche, on constate que, sur la pĂ©riode prĂ©cĂ©dente 1990/99 i le taux d’activitĂ© des hommes comme des femmes avait baissĂ© ; et ii le travail des hommes s’était rĂ©orientĂ© vers les services et agriculture. Comme beaucoup moins de femmes disent travailler, ces tendances correspondent, dans l’ensemble, aux constats antĂ©rieurs la plupart des travailleurs dans les pays africains pour lesquels on dispose de donnĂ©es afïŹrment tirer une plus grande partie de leur revenu des industries manufacturiĂšres ou des services, et moins de l’agriculture. On constate aussi que les hommes sont bien plus nombreux Ă  dĂ©clarer travailler dans la branche manufacturiĂšre que ne le montrent actuellement les statistiques nationales. Les dĂ©terminants de ce changement structurel positif sont la qualitĂ© de la gouvernance, l’accumulation de capital humain, des taux de change compĂ©titifs et la part de la population active travaillant dans l’agriculture. L’analyse multivariĂ©e des dĂ©terminants du changement structurel positif rĂ©cemment observĂ© en Afrique aboutit Ă  plusieurs conclusions. PremiĂšrement, plus la qualitĂ© de la gouvernance, telle que mesurĂ©e par la fondation Mo Ibrahim 2012, est Ă©levĂ©e, plus la transformation structurelle est positive. DeuxiĂšmement, l’accumulation de capital humain, telle que mesurĂ©e par l’évolution du taux d’achĂšvement de l’école primaire, est corrĂ©lĂ©e positivement Ă  la transformation structurelle. De fait, les compĂ©tences constituent une importante condition prĂ©alable, y compris pour les emplois les plus simples dans les pans modernes de l’économie, et il faut les renforcer pour accĂ©lĂ©rer le changement structurel. Selon les enquĂȘtes sur les entreprises rĂ©alisĂ©es par la Banque mondiale 2013a, un travailleur occupant un emploi formel dans le secteur manufacturier a Ă©tĂ© scolarisĂ©, en moyenne, pendant ans. TroisiĂšmement, les donnĂ©es DHS recueillies au niveau des mĂ©nages montrent que, plus le taux de change mesurĂ© par une comparaison des niveaux des prix entre pays6 est compĂ©titif, plus le recul de la part de l’agriculture dans l’emploi est rapide. Dans le mĂȘme temps, des taux de change plus compĂ©titifs sont corrĂ©lĂ©s positivement Ă  la part des industries manufacturiĂšres dans l’emploi. EnïŹn, quatriĂšmement, les pays oĂč la part de la population active est plus Ă©levĂ©e dans l’agriculture connaissent un changement structurel plus marquĂ© qui stimule la croissance. Cette observation cadre avec un large Ă©cart de productivitĂ© initial, et avec la croissance de la productivitĂ© agricole, qui permet de ïŹnancer l’investissement des mĂ©nages Ă  la fois dans le travail rural non agricole et le passage Ă  un emploi urbain, ainsi qu’avec l’élargissement des opportunitĂ©s d’emploi dans le secteur de destination. On trouvera dans l’encadrĂ© une description des schĂ©mas du changement structurel par catĂ©gorie de pays. EncadrĂ© La transformation structurelle dans quatre groupes de pays distincts La classiïŹcation des 54 pays d’Afrique en quatre groupes caractĂ©ristiques permet d’illustrer l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© des processus de transformation structurelle sur ce continent. s Les Ă©conomies tributaires des ressources naturelles concernent les pays oĂč les ressources extractives, telles que le pĂ©trole et les produits minĂ©raux, contribuent Ă  au moins 30 % du produit intĂ©rieur brut PIB. s Les Ă©conomies diversiïŹĂ©es Ă©tablies ont un revenu par habitant relativement Ă©levĂ© et sont peu exposĂ©es aux ressources extractives et Ă  l’agriculture en proportion du PIB. s Les Ă©conomies Ă©mergentes afïŹchent un PIB par habitant relativement faible, un taux de croissance rapide et une importante contribution de l’agriculture au PIB. 0 La transformation structurelle en Afrique un exemple de cas pour chaque groupe de pays A. Une Ă©conomie diversifiĂ©e Maurice C. Une Ă©conomie Ă©mergente l’Ouganda D. Une Ă©conomie en prĂ©-transition le Malawi B. Une Ă©conomie reposant sur les resources naturelles le Nigeria Variation de la part de l'emploi ΔPart_emploi Variation de la part de l'emploi ΔPart_emploi 0 Log productivitĂ© sectorielle/productivitĂ© totale lnp/P Log productivitĂ© sectorielle/productivitĂ© totale lnp/P Source Calculs des auteurs sur la base des donnĂ©es provenant de la RĂ©publique de Maurice 2012, du bureau de statistique de Maurice base de donnĂ©es, cso, et de Nations Unies 2012, principale base de donnĂ©es agrĂ©gĂ©es sur les comptes nationaux, unsd/snaama/ Source Calculs des auteurs sur la base des donnĂ©es provenant du bureau de statistique de l'Ouganda 2012, de CountryStat Uganda, base de donnĂ©es, et de Nations Unies 2012, principale base de donnĂ©es agrĂ©gĂ©es sur les comptes nationaux, Source Calculs des auteurs sur la base des donnĂ©es provenant du bureau statistique national du Malawi 2012, de la Banque mondiale 2010, Indicateurs du dĂ©veloppement dans le monde World Development Indicators, data-catalog/world-development-indicators et du BIT 2013, LABORSTA, base de donnĂ©es, Source Calculs des auteurs sur la base des donnĂ©es provenant de Adeyinka, A., S. Salau et D. Vollrath 2012, Structural change in Nigeria, document interne. agr Variation de la part de l'emploi ΔPart_emploi agr man ser min = t-stat= Log productivitĂ© sectorielle/productivitĂ© totale lnp/P Variation de la part de l'emploi ΔPart_emploi Log productivitĂ© sectorielle/productivitĂ© totale ln p/P Note La taille des cercles correspond Ă  la part de l’emploi en 2000 Maurice, en 1999 Nigeria et Ouganda et en 1998 Malawi. Les diffĂ©rences dans les pĂ©riodes couvertes sont imputable Ă  des diffĂ©rences dans les donnĂ©es disponibles. ÎČ dĂ©signe le coefficient de la variable indĂ©pendante dans l’équation de rĂ©gression lnp/P=α+ÎČΔPart_emploi. 12 À Maurice, dont l’économie est diversiïŹĂ©e, le changement structurel a reposĂ© sur les services et a permis d’étoffer la croissance. Il est nĂ©anmoins quelque peu atypique ïŹgure Dans ce pays, le changement structurel dynamise depuis peu la croissance et il est tirĂ© par le secteur des services, Ă  forte productivitĂ©. En Afrique, Maurice est un cas de rĂ©ussite emblĂ©matique, et son Ă©conomie est trĂšs diversiïŹĂ©e. Dans la ïŹgure ci-dessus, la taille des cercles indique que l’agriculture et le secteur minier y sont relativement peu importants par rapport aux industries manufacturiĂšres et aux services. Comme dans nombre des pays dĂ©veloppĂ©s de l’échantillon, la branche manufacturiĂšre s’est contractĂ©e Ă  Maurice. En revanche, contrairement Ă  certaines des autres Ă©conomies plus avancĂ©es, en Afrique et ailleurs, Maurice a su dĂ©velopper son secteur tertiaire en misant sur des activitĂ©s trĂšs productives, qui absorbent un volume de main-d’Ɠuvre signiïŹcatif. Au Nigeria, pays tributaires des ressources naturelles, les variations des parts dans l’emploi sont inïŹmes par comparaison Ă  celles observĂ©es Ă  Maurice ïŹgure Le changement structurel observĂ© joue un rĂŽle positif, mais nettement plus faible, dans les gains de productivitĂ© globaux. Son principal dĂ©terminant est le mouvement de la population active, laquelle a quittĂ© l’agriculture et les services au proïŹt des industries manufacturiĂšres. Il faut toutefois noter que les diffĂ©rentiels de productivitĂ© entre ces trois secteurs ne sont pas considĂ©rables, probablement en raison du grand poids des activitĂ©s informelles dans tous les secteurs. En Ouganda, un pays Ă  l’économie Ă©mergente, le changement structurel a contribuĂ© sensiblement Ă  la croissance gĂ©nĂ©rale de la production par travailleur ïŹgure On constate des Ă©volutions remarquables dans l’économie de ce pays. La part de la population active a rĂ©cemment diminuĂ© de plus de 10 % dans l’agriculture, tandis qu’elle a augmentĂ©, dans une proportion comparable, dans les industries manufacturiĂšres et les services. Contrairement Ă  ce qui se passe au Nigeria, la productivitĂ© est nettement plus Ă©levĂ©e dans ces deux secteurs que dans l’agriculture. Au Malawi, considĂ©rĂ© comme une Ă©conomie en prĂ©-transition, la transformation structurelle est peu marquĂ©e mais positive ïŹgure À maints Ă©gards, la structure de l’économie est analogue Ă  celle de l’Ouganda on trouve la majoritĂ© des travailleurs dans l’agriculture ; viennent ensuite, par ordre dĂ©croissant, les services, les industries manufacturiĂšres et le secteur minier. La principale diffĂ©rence tient Ă  l’ampleur signiïŹcative du changement structurel en Ouganda, alors qu’il y a eu trĂšs peu de mouvement au Malawi. La part de la population active a reculĂ© d’environ % dans l’agriculture et de % dans les services. ParallĂšlement, la part de la population active a progressĂ© dans les industries manufacturiĂšres. Cependant, malgrĂ© les rĂ©centes avancĂ©es de la transformation structurelle, les Ă©carts de productivitĂ© intersectoriels restent immenses en Afrique. Le potentiel demeure largement inexploitĂ©. La ïŹgure compare la productivitĂ© dans neuf secteurs par rapport Ă  la proportion de la population active qu’ils emploient. Avec une productivitĂ© moyenne de 36 %, l’agriculture est, de loin, le secteur le moins productif ; la productivitĂ© des industries manufacturiĂšres est six fois plus Ă©levĂ©e et celle du secteur minier prĂšs de 60 fois supĂ©rieure7. Dans cet Ă©chantillon de pays d’Afrique, la plupart des emplois se trouvent dans les secteurs les plus improductifs, environ les trois quarts de la population travaillant dans les deux secteurs qui afïŹchent une productivitĂ© infĂ©rieure Ă  la moyenne l’agriculture et le commerce gros et dĂ©tail. Si ces constats semblent i Afrique de l'Ouest, 16 June, 2022 / 1000 pm ACI Africa. À l'occasion de la JournĂ©e nationale de la jeunesse en Afrique du Sud, cĂ©lĂ©brĂ©e le 16 juin, un Ă©vĂȘque catholique du pays a soulignĂ© la nĂ©cessitĂ© pour les aumĂŽniers de jeunes, les prĂȘtres de paroisse et les laĂŻcs adultes d'accompagner les jeunes et de les Ă©couter. Dans une interview accordĂ©e Ă  ACI Afrique, l'Ă©vĂȘque de liaison pour le bureau de la jeunesse de la ConfĂ©rence des Ă©vĂȘques catholiques d'Afrique australe SACBC a dĂ©clarĂ© que les jeunes ont "beaucoup de problĂšmes", qui doivent ĂȘtre abordĂ©s. "Les jeunes ont besoin de voir quelqu'un qui leur est proche ; ils ont besoin de nous voir. Ils ont besoin de voir que nous faisons partie intĂ©grante d'eux ; ils ont besoin de quelqu'un qui les Ă©coute", a dĂ©clarĂ© l'Ă©vĂȘque Siphiwo Paul Vanqa lors de l'interview du mercredi 15 juin. Mgr Vanqa a ajoutĂ© que dans le cadre des activitĂ©s visant Ă  soutenir les jeunes, les diocĂšses catholiques d'Afrique australe "devraient avoir des budgets pour les jeunes, pour que les aumĂŽniers travaillent avec les jeunes, pour accompagner les jeunes, au niveau scolaire et tertiaire". "Les diocĂšses devraient disposer de certains fonds pour soutenir les programmes destinĂ©s aux jeunes", a dĂ©clarĂ© l'Ă©vĂȘque du diocĂšse de Queenstown en Afrique du Sud. Il a ajoutĂ© "Les jeunes ont beaucoup de problĂšmes ; ils ont besoin de quelqu'un Ă  qui parler, qui les Ă©coute, qui ressente leurs frustrations et leur douleur. Et nous ne pouvons le faire que si nous nous mettons Ă  leur disposition et si nous rĂ©pondons Ă©galement Ă  leurs besoins." Le membre de la SociĂ©tĂ© de l'Apostolat Catholique Pallottines a poursuivi en disant que la responsabilitĂ© d'accompagner les jeunes n'incombe pas seulement aux aumĂŽniers de jeunesse et aux prĂȘtres, mais aussi aux laĂŻcs qui travaillent avec les jeunes. "Nous avons des laĂŻcs dans nos diocĂšses qui travaillent avec les jeunes. Nous avons besoin de ces personnes, parce que les jeunes ont un besoin criant d'eux, un besoin de prĂȘtres pour participer Ă  leur croissance", a dĂ©clarĂ© l'Ă©vĂȘque catholique sud-africain. Il a poursuivi en soulignant les dĂ©fis auxquels les jeunes sont confrontĂ©s "Certains des problĂšmes auxquels les jeunes sont confrontĂ©s sont qu'ils n'ont pas de personnes Ă  la maison pour les Ă©couter, les conseiller, les encourager. Les aumĂŽniers pourraient ĂȘtre ces personnes. Nous devons unir nos efforts afin d'apporter notre soutien, de donner de l'espoir et de redonner de l'Ă©nergie aux jeunes." Chaque 16 juin, les Sud-Africains rendent hommage aux jeunes qui ont perdu la vie lors du soulĂšvement de Soweto en 1976, au cours duquel des centaines de manifestants, pour la plupart des Ă©tudiants, ont perdu la vie aux mains de l'administration coloniale. L'Ă©vĂ©nement annuel, Ă©galement connu sous le nom de JournĂ©e internationale de l'enfant africain DAC, rend hommage aux jeunes Ă©tudiants qui protestaient contre l'utilisation de l'afrikaans comme langue d'enseignement Ă  l'Ă©cole. Dans l'interview du 15 juin, l'Ordinaire local du diocĂšse de Queenstown a dĂ©clarĂ© Ă  ACI Afrique que de nombreux jeunes Noirs sud-africains ont encore du mal Ă  accĂ©der Ă  l'Ă©ducation. Il a dĂ©clarĂ© "Dans ma propre province, certains enfants ont du mal Ă  se rendre Ă  l'Ă©cole parce qu'il n'y a pas de ponts ou de routes appropriĂ©es ; ils doivent parcourir de longues distances pour se rendre Ă  l'Ă©cole. Il existe des transports, mais parfois les familles n'ont pas les moyens de les payer." L'Ă©vĂȘque sud-africain de 67 ans s'est dit prĂ©occupĂ© par la sĂ©curitĂ© des Ă©lĂšves qui doivent parcourir de longues distances pour se rendre Ă  l'Ă©cole "De nombreux Ă©coliers sont victimes d'accidents de la route. Hier encore, Ă  Port St. John's, environ six Ă©coliers sont morts Ă  cause d'un camion qui a quittĂ© la route et a foncĂ© sur les Ă©lĂšves." Le 14 juin, des Ă©lĂšves de l'Ă©cole primaire supĂ©rieure Ndamase Ă  Ngqeleni, dans la province du Cap-Oriental, ont Ă©tĂ© impliquĂ©s dans un accident de la route qui a coĂ»tĂ© la vie Ă  six d'entre eux. "Cela fait mal", a dĂ©clarĂ© l'Ă©vĂȘque catholique qui est Ă  la tĂȘte du diocĂšse de Queenstown depuis mai 2021, en rĂ©fĂ©rence Ă  l'accident du 14 juin. Le manque d'attention et de soins pour les jeunes manifeste une Ă©glise destructrice, a-t-il dit, et il a expliquĂ© Ă  propos des jeunes "Comme le dirait le pape François, c'est l'Église qui est en train d'ĂȘtre anĂ©antie, et donc comment pouvons-nous les aider au mieux ?" Le membre des Pallottines a dĂ©clarĂ© que les membres de la SACBC "connaissent et voient les difficultĂ©s" auxquelles les jeunes d'Afrique australe sont confrontĂ©s, et a ajoutĂ© "En tant que religieux, en tant que membres de l'Ă©glise, nous devrions tendre l'oreille Ă  nos jeunes, simplement pour les Ă©couter, pour prier avec eux." Le "petit geste" d'Ă©couter les jeunes "permet d'attĂ©nuer beaucoup de frustrations", a dĂ©clarĂ© l'Ă©vĂȘque Vanqa Ă  ACI Afrique le 15 juin, ajoutant "Nous devons ĂȘtre capables de faire partie intĂ©grante de leur lutte." Les jeunes, a dĂ©clarĂ© l'Ă©vĂȘque de liaison pour le bureau de la jeunesse de la SACBC, "n'ont besoin que d'accompagnement ; nous n'avons peut-ĂȘtre pas l'argent ou les moyens financiers, mais si nous nous mettons Ă  leur disposition, je pense que cela compte beaucoup pour eux et ils en ont besoin." Abonnez-vous Ă  notre newsletter quotidienne À ACI Afrique, notre Ă©quipe s'engage Ă  rapporter la vĂ©ritĂ© avec courage, intĂ©gritĂ© et fidĂ©litĂ© Ă  notre foi. Nous fournissons les actualitĂ©s d'Afrique, vues Ă  travers les enseignements de l'Église catholique - afin que vous puissiez grandir dans votre foi catholique et prendre conscience du peuple de Dieu en Afrique. Lorsque vous abonnez aux actualitĂ©s d'ACI Afrique, vous recevez par courriel les derniĂšres nouvelles dont vous avez besoin. Utilisez le formulaire ci-dessous pour nous indiquer oĂč nous pouvons envoyer les derniĂšres actualitĂ©s d'ACI Afrique. Volontariat International en Entreprise en Afrique du Sud le guide De plus en plus de Français visitent l’Afrique du Sud, avec plus de 135 000 touristes entre janvier et septembre 2017. Au lieu d’y passer seulement quelques jours ou semaines, vous pouvez y rester plus longtemps et mĂȘme y travailler dans le cadre d’un si vous avez entre 18 et 28 ans. Le volontariat international en entreprise vous permet de rejoindre une entreprise française implantĂ©e en Afrique du Sud Ă  travers ses filiales afin d’y effectuer une mission d’une durĂ©e comprise entre 6 et 24 mois. Afin de vous soutenir dans votre projet, et vous aider Ă  bien dĂ©buter dans la recherche d’une mission, nous vous proposons ce guide dĂ©taillĂ© pour partir en en Afrique du Sud. Avant de dĂ©buter, n’hĂ©sitez pas Ă  consulter notre guide global dĂ©diĂ© aux Ă  l’étranger qui regroupe des informations sur les dĂ©marches, la rĂ©munĂ©ration, et la recherche de mission. Pour aller plus loin "Le guide complet du Pourquoi faire une mission de volontariat international en Afrique du Sud ? L’Afrique du Sud dispose de nombreux avantages pour les missions et nous en avons identifiĂ© 4 principaux 1. Choisir l’Afrique du Sud comme destination de c’est dĂ©couvrir la nation “arc-en-ciel". Vous verrez dans le pays des paysages incroyables entre ocĂ©an, rĂ©serves naturelles et montagne ; rencontrerez des personnes dont l’histoire familiale est riche en rebondissements et entendrez plus de 11 langues diffĂ©rentes. 2. En raison de cette histoire riche, les Sud-Africains sont des personnes trĂšs accueillantes et vous ne devriez pas avoir de mal Ă  vous intĂ©grer. De plus, en 2018 il y avait plus de 8 000 Français inscrits au registre consulaire. Vous pourrez donc facilement retrouver des compatriotes avec lesquels sympathiser. 3. Se situant de l’hĂ©misphĂšre sud, l’Afrique du Sud a les saisons inversĂ©es par rapport Ă  l’Europe. Vous pourrez donc y passer noĂ«l sous le soleil. De plus, les tempĂ©ratures sont plus Ă©levĂ©es que dans le nord de l’Europe. En hiver elles ne descendent en gĂ©nĂ©ral pas en dessous de 8°C. 4. Le coĂ»t de la vie en Afrique du Sud est beaucoup moins Ă©levĂ© qu’en Europe. La capitale administrative, Pretoria, est classĂ©e 260Ăšme ville la plus chĂšre dans le monde. Johannesburg est 7 places derriĂšres. A titre de comparaison, la ville de Paris est 20Ăšme dans ce classement. Vous pourrez donc vivre confortable avec votre rĂ©munĂ©ration de Quelle est la rĂ©munĂ©ration des en Afrique du Sud ? Les indemnitĂ©s pour un ainsi que les avantages venant avec la mission ne sont pas nĂ©gociables par le candidat. Ils sont prĂ©alablement Ă©tablis par Business France Ă  travers son barĂšme annuel des indemnitĂ©s Cette rĂ©munĂ©ration est réévaluĂ©e tous les ans. Business France distingue deux rĂ©gions en Afrique du Sud en termes de rĂ©munĂ©ration pour l’annĂ©e 2019 Johannesburg oĂč la rĂ©munĂ©ration en tant que s’élĂšve Ă  1 964,72 € par mois Les autres villes oĂč elle s’élĂšve Ă  1 947,19 € par mois Ces montants sont nets de cotisation sociale et ne sont pas assujettis Ă  l’impĂŽt sur le revenu. Ils sont calculĂ©s en fonction du coĂ»t de la vie sur place, tout comme le salaire minimum sud-africain. Ce dernier n’est pas trĂšs vieux puisqu’il a Ă©tĂ© créé en 2018. Lors de cette annĂ©e, il s’élevait Ă  244 € par mois. Pour ce qui est du salaire moyen, il s’élĂšve pour l’annĂ©e 2019 Ă  1004 €, toute profession confondue. À lire "La rĂ©munĂ©ration des missions Ă  l'Ă©tranger" Cependant, les salaires moyens des titulaires de Master sont beaucoup plus Ă©levĂ©s. Par exemple, les diplĂŽmĂ©s d’un Master en Business Administration gagnent en moyenne 52 000 € par an. Ceux d’un Master d’IngĂ©nieur gagnent en moyenne 32 000 € par an. Toutefois, le taux de chĂŽmage est trĂšs important en Afrique du Sud et il faut avoir trouvĂ© un emploi pour faire une demande de visa auprĂšs de l’Ambassade. C’est pourquoi le peut ĂȘtre une solution plus simple pour travailler en Afrique du Sud. Libre Ă  vous de trouver un autre poste dans le pays Ă  la fin de votre mission. Trouver une mission VIE dans une entreprise en Afrique du Sud Lorsque vous vous lancez dans la recherche d’une mission de en Afrique du Sud, la premiĂšre piste Ă  explorer est le site du Civiweb. C’est sur ce site que se trouve la majoritĂ© des offres de Une autre piste Ă  explorer est celle de la Chambre du Commerce et de l’Industrie franco – sud-africaine. Vous pouvez vous crĂ©er un rĂ©seau grĂące aux informations disponibles sur le site, mais surtout suivre l’actualitĂ© des entreprises Françaises implantĂ©es en Afrique du Sud. Parmi ces entreprises vous trouvez des grands groupes Français. AdVini qui se dĂ©crit comme le leader français du vin de terroir, a repris Stellenbosch Vineyards, l’un des principaux acteurs du domaine du vin en Afrique du Sud en 2018. Dans le domaine de l’industrie alimentaire, le groupe Lactalis est lui aussi prĂ©sent en Afrique du Sud. Il a pris possession de la division lait infantile du groupe pharmaceutique Sud-Africain. Enfin, le groupe Decathlon est prĂ©sent en Afrique du Sud avec pour l’instant avec 2 concept stores. À lire "Trouver une mission de Ă  l'Ă©tranger le guide" Quelles sont les dĂ©marches pour partir en en Afrique du Sud ? La procĂ©dure est assez longue pour obtenir un visa pour partir en tant que en Afrique du Sud. La demande pour un permis de travail gĂ©nĂ©ral prend en moyenne 8 semaines. En effet, votre entreprise doit fournir une preuve de sa recherche d’employĂ©s sud-africains. Elle doit justifier qu’elle a bien besoin de vous car aucun candidat sud-africain n’est qualifiĂ© pour le poste. Vous devez dĂ©poser votre demande auprĂšs de l’Ambassade d’Afrique du Sud Ă  Paris.

cout de la vie en afrique du sud