Quiest La Gazelle Toc Toc? Bienvenue dans l'univers de La Gazelle Toc Toc, Je suis Sophie, créatrice de mode, et je suis ravie de vous présenter mes créations de pièces uniques fabriquées avec amour en Bretagne. Depuis de nombreuses années, je crée pour vous, des vêtements uniques et des robes de mariée sur-mesure. Je transforme aussi vos vêtements préférés pour
Animationréalisée par le centre aéré de Vals-les-Bains
Toctoc. Qui est là ? François Fornasiero Démarrer l'expérience SELAH SELAH est un mot qui signifie "pause" en hébreu, et que l'on retrouve dans les Psaumes à plusieurs reprises. « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait
Heidiis looking for Tonton again, and someone keeps knocking at the door. Watch along and find out who comes to say 'hello'!
Toctoc toc ! Qui est là ? Ouvre Macrounet ! C’est Vlad ! 22 Aug 2022 11:21:38
XZZvM. Toc Toc Toc. Je frappe à nouveau par politesse bien que personne ne me répondra d’entrer. Après m’être glissée sous forme de courant d’air glacial, j’aperçois enfin le corps. Ce n’est encore qu’une enfant. Très jolie à n’en point douter. Elle respire encore mais faiblement et tente de se raccrocher à cette petite étincelle qu’est sa vie. J’aperçois une femme penchée, les yeux baignés de larmes. Elle chuchote tout bas à sa fille d’être forte, de garder espoir. Dans l’au-delà elle retrouvera son cher père qui les a quitté depuis quelques années déjà . Je continue de m’approcher vers ce frêle petit corps. Délicatement je glisse mon bras squelettique dans son cœur. Est-ce vraiment son heure ? Je cherche une lumière parmi l’obscurité. C’est alors que je la trouve. Faible mais courageuse. Délicate mais rapide. Elle me voit arriver et se met à fuir comme elles le font toutes. Dit adieu à tes proches douce enfant. Je vais te conduire près de ton paternel. Lentement, elle ferme les yeux et murmure un faible je t’aime » à l’encontre de sa mère. Son âme s’élève de son corps avec une infinie lenteur. Je tend les bras et la saisit. Je la vois me sourire C’était mon heure ? - Oui petite chose. - C’est pas si dur en fait. - Non ça ne l’est pas. C’est ce que tout le monde dit ? - Oui. Mais maintenant je sais que ce ne sont que des rumeurs. » Elle s’agrippa à moi avant de s’endormir. C’était la première fois que l’un d’eux me parlait. Etrangement Je ne fut pas surprise mais pris beaucoup de plaisir à lui répondre. Elle était si jeune. Tant de belles choses elle ne vivrait pas. Toc Toc Toc. La taverne est silencieuse. Rien ne bouge à l’intérieur. Pas même les volets qui pourtant sont balancés par le vent. Tous respectent les défunts.. De nouveau je frappe par politesse. Je me glisse par la fenêtre ouverte et aperçois la victime. C’est un homme assez vieux. La maladie a eu raison de lui. Une femme plus jeune que lui gémit en secret. Elle n’est pas malheureuse au contraire, elle est comblée. Comblée d’hériter de la taverne et de l’argent qu’elle récupère. Souvenez-vous du coffre caché sous la trappe de leur chambre. Vous vous demandez ce qu’il contenait n’est-ce pas ? C’est bien simple, toutes ses économies s’y trouvaient.. Elles attendaient bien sagement qu’une main impure les prennent de leur cachette afin de les dépenser à des fins vicieuses. J’entrais ma main dans le cœur du vieil homme et découvris de drôles de sensations. Il aimait cette femme infidèle de toute son âme. Il lui aurait bien donné tout l’argent du monde si elle le lui avait demandé. Mais quelque fois les hommes sont injustes et préfèrent causer le mal autour d’eux. Je soulevais l'esprit et l’emportais avec moi. Il ouvrit les yeux et me regarda longuement Vous ne ressemblez pas à ce que je croyais. - J’en suis sûre. - Vous avez l’air plus sage. - Merci. - Vous n’êtes pas bavarde n’est-ce pas ? - Non. A dire vrai on ne m’a jamais parlé. - Je suis donc le premier homme à bavarder avec la grande faucheuse. » Le trajet de l’au-delà se passa sans aucune autre parole. Une nuit sombre. Je ne vois que des lanternes au loin, rien d’autre. Mais j’entends des pleurs. Pas un mais une dizaine de pleurs différents. Je presse le pas. Mais est-ce que je marche réellement ? Je ne sais. Je regarde alors autour de moi. Et qu’aperçois-je ? Des tombes. Je suis dans un cimetière entouré de nombreux défunts.. Quel endroit chaleureux et serein ! Je m’avance vers le petit cercle formé par quelques âmes peinées. Elles souffrent toutes aujourd’hui. Aucunes ne voient de profil dans la mort de la vielle femme. Je regarde de plus près le corps. C’est une très vieille dame. Apparemment morte de chagrin depuis la disparition de son fils unique. Je me souviens lors de lui. Un jeune homme admirable, décédé pour s’être sacrifié dans une mine. Un héros si je peux dire. Quatre vies furent sauvées grâce à son acte de bravoure. La vieille femme pleure encore. Elle me voit la toucher et comprend que je l’emmène à son tour Merci. - Je ne fais que ma tâche. - Oui mais d’une certaine manière grâce à vous je vais revivre près de mon seul enfant. - J’en suis fort aise. - Cela vous en fait combien pour aujourd’hui ? - Quoi donc ? - D’âme. - Trois. - Tous de mon âge ? - Non madame. Une enfant d’à peine dix ans. - Au mon dieu. Vous n’êtes donc pas humain ? - Je l’ai été, il y a de cela fort longtemps. Mais cette une époque dont je ne me souviens plus. - Et je suppose que vous ne ressentez plus rien ? - Quelque fois. - Merci. » Je m’étonne soudain de sa gratitude qu’ais-je donc fait pour cela ? Je viens chercher son âme et c’est tout. Je suis la Mort, la grande faucheuse. Celle qui vous ôte la vie. Est-ce un remerciement d’avoir répondu à ses questions ? Ou bien parce qu’à son tour elle rejoindra ses proches disparus ? Toc Toc Toc. Il est tard, très tard. Le jour pointera bientôt le bout de sa lumière. Il me faut aller plus vite et surtout ne plus perdre de temps en bavardages inutiles. L’âme suivante se trouve dans une belle et grande demeure. Un riche pour sur. Je me glisse comme à mon habitude et fais connaissance avec l’esprit. C’est un homme narcissique vu les nombreux miroirs sertis de pierres précieuses qui ornent son habitat. Il est allongé dans un grand lit à baldaquin et hurle de tout son être qu’il est plus fort que moi. Mais rien ne peut détruire ce qui n’existe plus. Je reste à ses côtés un moment désireuse d’écouter ce qu’il invective à mon sujet Tu te crois assez forte pour m’emmener ? Tu rêves ! Je suis riche et beau !! Je ne peux pas mourir maintenant ! Je te vaincrais par mon courage et ma ténacité. Tu repartiras bredouille! Je le jure ! » Je me mets à rire aux éclats. Du moins j’eus l’impression de rire. Comme pour les autres, je plonge ma main osseuse dans son cœur. Son âme est des plus sombres. Je tente de refermer son âme dans mon poing mais j’échoue. J’essaye maintes et maintes fois mais chaque fois elle m’échappe. Que se passe t-il ? C’est la première fois que cela se produit. Me suis-je trompée sur son heure ? Non c’est impossible. Je suis la Mort. Soudain il se fige et m’observe. Son regard me poursuit dans la pièce. Je heurte sans le vouloir un homme d’âge mûr. Ce dernier se retourne inquiet. Mais ne découvrant personne, il repose ses yeux mesquins sur le souffrant. Je m’empresse de lui prendre son âme avant qu’il ne hurle à tous ce à quoi je ressemble. Je ne sais pas ce qui se passe mais le jeune homme ne résiste plus. Une fois que son esprit est en ma possession je l’entends murmurer Je savais que c’était mon heure. Certains comme moi sont doués pour prédire l’avenir. Et je le suis. Dès mon plus jeune âge j’ai su ce à quoi vous ressembliez. Vous êtes belle mais je veux vous vaincre. Acceptez-vous un duel contre moi ? - Non. - Pourquoi ? - Je n’ai pas le temps de jouer. D’autres personnes souffrent et attendent que je les sorte de leur douleur. - Alors vous êtes bienveillante ? - Je n’ai jamais dit ça ni dit le contraire à qui que ce soit car personne n’est revenu d’entre les morts pour vous le dire. - Mais c’est une légende tellement courante. - Quelle légende ? - Vous et votre froideur. Votre manière de venir nous chercher dans une cérémonie des plus ténébreuses. - Et bien vous pouvez le constater par vous-même je n’aime pas ce genre de chose. Ma tâche consiste à venir récupérer vos âmes et c’est tout. - Acceptez mon duel alors. Si je gagne vous relâchez mon âme. Si je perds vous me gardez. - Non. Je n’y gagne rien. - Vous avez peur de perdre c’est ça ? - Du tout. Maintenant taisez-vous et laissez-moi. » Pourquoi cherchent-ils tous à communiquer avec moi aujourd’hui ? A ce que je sache, il n’y a aucune révolution ou guerre dans leur monde qui leur fasse craindre la personne que je suis. Suis-je réellement une personne ou juste un squelette sans vie qui ne fait que contribuer à la survie d’une terre dont il est banni ? Plus j’amasse d’âmes plus elles me parlent et m’intriguent. Je sens de plus en plus ce vide au fond de moi se remplir d’une substance étrangère. Toc Toc Toc. Il est presque le matin quand j’arrive dans ce magnifique château. Une guerre a eu lieu dans la nuit. Une guerre qui n’a pas tué autant que d’habitude. Je rencontre un couple. Il est roi, elle est reine. Je le sais grâce aux jolies couronnes serties de mille et un rubis qui surmontent leurs têtes. La femme tient un bébé dans ses bras d’à peine quelques mois. Il n’est plus qu’un corps froid et livide, dénué de vie. Etrangement je ne veux pas l’emmener avec moi. J’aimerais plutôt le voir grandir auprès de sa famille qui pleure amèrement sa perte. A leurs côtés, sur le sol, je vois un autre corps, mort lui aussi. C’est une femme jeune et très belle. Elle gît dans son propre sang. Tout comme le bébé d’ailleurs. Je la saisis et elle entame aussitôt une discussion des plus animées Je l’aime vous savez. C’est un roi noble. Mais il a préféré ma sœur à moi et lui a donné cet enfant. La jalousie est un bien vilain défaut. J’ai tué le fruit de leur amour par vengeance. - Vous ne pouvez contrôler vos émotions. - Mais j’aurais du !! Vous ne pouvez comprendre. Après tout, vous n’avez pas de cœur. - J’en avais un autrefois. - Vous voulez dire que vous avez été… humain ? - Oui. - Et cela ne vous manque pas de ressentir des émotions ? D’aimer quelqu’un ? - Je ne crois pas. - Vous êtes courageuse. - Non. Je suis juste un squelette qui accomplit sa destinée. - Et bien. Je suppose que vous ne le serez pas éternellement. - Je ne sais pas. - Je vous remplacerais un jour et je dirais à tous la même phrase. - Laquelle ? - Que la mort les salue. » J’ai quand même emmené le bébé avec nous. Car telle est ma destinée. Amener les âmes là où elles doivent se trouver. Car je suis la Mort. La seule et unique. Toc Toc Toc. Fin.
Quand on a des TOC, les pensées sont intrusives et obsessionnelles; Elles vous submergent, vous anéantissent jusqu'à vous mettre à terre. Victorieuse ou vaincue? C'est le jeu incessant de ma vie. me sens fébrile. Une pensée surgit. Elle en amène une autre puis encore une autre et toujours une autre. Mes pensées deviennent alors un tourbillon d’images morbides qui déclenchent une tempête émotionnelle sans dessus dessous, ingérable et fatale, pour me propulser vers ce monde obscur, sale, pervers, nauséabond, abject, mesquin, salaud, turbulent, sournois, criminel, démoniaque, usé et bouton, une suspicion, un rendez-vous immanquable ; l’attente ; le doute ; la torture psychologique ; une annonce terrible ; l’effondrement ; les hôpitaux, les tuyaux, les seringues ; les bleus, le crâne parsemé ; les diarrhées ; les nausées ; la peau rouge, bleue, violette et jaunie ; les produits coulant dans les veines ; les réunions de la mort, les sourires volés, les regards éperdus et héroïques ; le temps compté ; les nuits apeurées ; les mains serrées ; les dernières marques d’affection ; le dernier souffle, les paupières fermées. A ça jeune fille volée ; prostrée et apeurée ; jupe arrachée, culotte déchirée ; seins nus ; recroquevillée et épouvantée ; percée et enfilée de tous les côtés ; écartelée ; déchiquetée ; vagin et anus martelé, pilonné et boxé ; laissée et abandonnée dans leurs jus ; les heures passent ; déconnectée ; laissée pour morte ; sans répit, il faut lui redonner vie ; vite ; une aiguille pénètre sa chair ; recousue pour les plaisirs indécents ; labourée, traversée et sciée ; vidée, anéantie, brisée, crevée. Elle s’évanouit. Elle est homme ; un seul homme ; le regard agonisant, la peau burinée, les dents noires et écaillées ; les mains entaillées ; l’haleine puante et chaude ; les cheveux collants, poisseux et tenaces ; les cicatrices du malheur ; le manque de tout ; la faim, la soif, un mot doux, des bras qui enlacent ; la pisse, la merde qui s’imprègne et submerge ; le froid ; les tremblements, une prière ; les yeux se ferment ; il s’endort et ne se réveille plus. Vaincu. ne s’arrête plus. Mon esprit s’emporte; il s’emballe. Je me replie sur moi-même pour tenter de faire taire cette douleur qui m'atteint de toute part. Et je me mets à nue. J'ai ce besoin viscéral de me délester de tout comme pour m'alléger. Je suis nue, à genoux ou en fœtus, saisissant ma tête pour que cette infamie s'arrête. Je veux juste que ça s' meurs dans ce lit dépourvu de toute âme, tuyaux et bleus sur un corps n’étant plus qu’un sac d’os et une chair pourrie. La maladie a pris le dessus. Je suis meurs avec ma poche de sang labourée et tailladée en guise de vagin. Ma dignité s’est envolée. La douleur m’éteint. Je suis meurs dans l’ignorance la plus totale avec mon duvet comme seul compagnon de vie, le souffle court et la tête engourdie. Je m’éteins le ventre creusé et la bouche asséchée. Je ferme les yeux. L’après sera peut-être mieux. Je suis cerveau, c’est la théorie de la fin du monde avec les sensations qui s’y collent. Cette fin du tout, je la vie comme si elle était réelle. Je la sens peser sur mes épaules, défiler devant mes yeux. Je sens l’odeur de la putréfaction envahir mes narines, la douleur prendre mes tripes en otage. Ma gorge se crispe, ma bouche sèche, les mots coincent, ma respiration s’accélère, mes larmes coulent, mes mains deviennent moites, la transpiration ruisselle, ma peau craquelle, ma colonne vertébrale s’affaisse, mon estomac vomit chaque élément de vie, mon cœur se fige et vit au rythme de la souffrance du monde. Il entend les lamentations, les revendications et les esprit est pris dans un étau. Je vois la mort. Je sens la faim, les pleurs de l’abandon, les cris de douleur, le désespoir, le sacrifice et la résignation. Je perçois chaque entaille, chaque goutte de sang versée, les hauts le cœur et les cœurs vois les petits corps frêles se jeter sur les détritus comme des hyènes enragés à la recherche du moindre morceau comestible. Je les vois ingérer tout ce qui peut leur remplir l’estomac au prix de leur vie. Carton, feuilles, papier, plastique, terre, tout est bon quand on crève la dalle. Ces petits corps errent ; ils errent encore et toujours sans les idées claires dans un esprit de survie jusqu’à s’effondrer lamentablement sous un soleil aride qui a eu raison de leur vois la tristesse dans les yeux de ces enfants qui n’ont jamais eu un geste d’amour, un regard de compassion ou un baiser sincère. Je les vois mourir de chagrin et de solitude dans de grands lits à barreaux remplis d’excréments et de quelques miettes de pain servis à la même heure chaque jour que Dieu vois toutes ces femmes enchaînées aux tables des bordels dans l’attente d’un pénis enragé qui viendra voler leur dignité pour quelques billets et briser leur âme à tout jamais. Je vois ces femmes au regard émacié, vidé et jambes écartelées, sur des lits emplis de sperme priant pour que leur supplice cesse en vois les pieds osseux et ensanglantés de ces pères et mères tentant l’impossible pour sauver leur progéniture des bombes et des meurtriers qui ont perdu l’esprit sur le chemin d’une vie chaotique. Je les entends hurler, accroupis et mains élancées vers ce Dieu, le suppliant de leur rendre ce qui les maintenaient encore en vois tous ces kilomètres parcourus par tous dans l’espoir d’une vie meilleure. Je vois ces corps nus abandonnés sur des sols craquelés, gelés ou asséchés, mourir dans une ignorance sordide et goûte l’amertume, le mauvais et le sale. Je touche la fin. Je vis la je danse.
– Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Teddy.– Teddy qui ?=> Teddy que tu l´aimes ; Mais tu sais très bien que même…[Dennis Twist – Tu dis que tu l’m]– Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Solène.– Solène qui ?=> Solène sunlights des tropiques ; L’amour se raconte en musique…[Gilbert Montagné – Sous le soleil des tropiques]– Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Sheila.– Sheila qui ?=> De toutes les matières ; Sheila ouate qu’elle préfère…[Caroline Loeb – C’est la ouate]=> Sheila-mour à la plage ; Et mes yeux dans tes yeux…[Niagara – L’amour à la plage]– Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Selma.– Selma qui ?=> Selma prière, je viens vers toi ; c’est ma prière, je suivrai ta loi…[Mike Brant – C’est ma prière]Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Seb. – Seb qui ?=> Seb pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme… [Renaud – Dès que le vent soufflera]=> Seb bon pour le moral ; C’est bon pour le moral… La Compagnie Créole – C’est bon pour le Moral– Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Sam.– Sam qui ?=> Sam’éneeeeerve ; Toutes celles qui portent la frange à la Kate Moss…[Helmut Fritz – Ca m’énerve]– Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Romain.– Romain qui ?=> Un Romain d’amitié qui s’élance comme un oiseau ; Pas une histoire d’amour vacances…[Elsa et Glenn Medeiros – Un roman d’amitié]– Toc, Toc, Toc… – Qui est là ? – C’est Quentin.– Quentin qui ?=> Quentin n’a que l’amour ; A s’offrir en partage…[Jacques Brel – Quand on n’a que l’amour]
toc toc toc qui est la amour